Vers un contrôle ouvrier, vers le socialisme
« La crise capitaliste mondiale est la confirmation de la justesse de l’analyse des marxistes, mais elle nous place directement devant de nouveaux enjeux. Les changements dramatiques qui se déroulent sur le plan sociétal vont influencer la conscience des masses et les contradictions entre les classes, ce qui signifie que le fait de proposer et de formuler un programme socialiste par l’agitation et la propagande nous place devant de nouveaux problèmes. »
– Sascha Stanicic
« Le mot d’ordre essentiel dans cette lutte est : indépendance complète et inconditionnelle des syndicats vis-à-vis de l’État capitaliste. Cela signifie : lutte pour transformer les syndicats en organes des masses exploitées et non en organes d’une aristocratie ouvrière. Le second mot d’ordre est : démocratie dans les syndicats. Ce second mot d’ordre découle directement du premier et présuppose pour sa réalisation la complète liberté des syndicats vis-à-vis de l’État impérialiste ou colonial.
En d’autres termes, à l’époque actuelle, les syndicats ne peuvent pas être de simples organes de la démocratie comme à l’époque du capitalisme libre-échangiste, et ils ne peuvent pas rester plus longtemps politiquement neutres, c’est-à-dire se limiter à la défense des intérêts quotidiens de la classe ouvrière. Ils ne peuvent pas être plus longtemps anarchistes, c’est-à-dire ignorer l’influence décisive de l’État sur la vie des peuples et des classes. »
– Léon Trotski
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